N° 51 (Novembre 1930)
[Date de publication : Novembre 1930 - Couverture : Titre, Année, Adresse, Sommaire, Numéro, Date, Périodicité - 2e de couverture : Titre, Directeur-fondateur, Prix du numéro, Directeurs, Administrateur, Abonnements, Adresse, Mentions ("Les auteurs sont seuls responsables de leurs articles. / Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. / Les abonnements partent du premier janvier.") - 3e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage (fondée par Georges Heitz) Edition de luxe à tirage limité" (N° 1. - Georges Heitz, Images détachées de l'oubli ; N° 2. - Maurice-Pierre Boyé, L'Escalier d'ombre ; N° 3. - Jacques Delmond, Les Douces-amères ; N° 4. - Claude-Maurice Robert, Le Pèlerin de l'espace ; N° 5. - Robert Milliat, L'Album de mes amis ; N° 6. - Marcel Ormoy, Le Visage retrouvé ; N° 7. - Marcel Clémeur, Images d'un printemps nouveau ; N° 8. - Francis Jammes, Diane ; N° 9. - Maurice Rey, Les Mélancolies passionnées ; N° 10. - Henri de Lescoët, Ciels peints ; N° 11. - Philippe Chabaneix, Comme des songes ; N° 12. - Eugène Lapeyre, Les Regrets) - 4e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage" [suite] (N° 13. - Claude Armel, Poèmes du désir et du plaisir ; N° 14. - Albert Flad, Le Feu dérobé ; N° 15. - Claude Fourcade, Les Fugitives ; N° 16. - Jean-Marie Guislain, Clairières ; N° 17. - Pierre Lély-Poujol, Le Vent du dernier soir) ; Publications "Aux éditions de L'Ermitage" (Paul d'Amarix, Transparences ; Marcel Ormoy, Stèle pour un jeune poète ; Noël Ruet, L'Azur et la flamme ; Georges Heitz, Dans le champ des Lettres ; Georges Heitz, Ecrit sur le sable) ; Mention ("Les volumes de la Collection poétique de L'Ermitage et des Editions de L'Ermitage sont en dépôt à la Librairie Eos, 56 rue de la Pompe, Paris 16e (Téléph. Auteuil 29-70), et à la Librairie "A la Sorbonne", 33, Rue Gioffredo, à Nice, qui peuvent fournir aussi les numéros de l'année en cours de la revue L'Ermitage.") ; Imprimeur ; Gérant - p. [417] : Titre - Pagination : 48 pages]
Sommaire
Eugène Lapeyre : Anniversaire, hommage [au poète Victor Barat mort un an plus tôt] (p. [417]-419)
Marcel Ormoy : Sérénité : I. "Quels messages encore attendez-vous de moi..." (p. [420]), II. "Rien ne peut désormais me ravir ma gaieté..." (p. 421), III. "J'aime encor vos couleurs, bouquets d'un autre automne..." (p. 422), IV. "Quelle crainte avez-vous de l'ombre et du silence ?..." (p. 423), V. "Ô soudaine envolée, ô brusque effondrement..." (p. 424), VI. "Je peux encor chérir ton visage plus grave..." (p. 425), VII. "Ni d'une vieille peine à la jeune blessure..." (p. 426), poèmes (p. [420]-426)
Georges Poncet : Chute d'Icare, nouvelle [en épigraphe, citation de Stéphane Mallarmé : "Tel qu'en lui-même enfin l'éternité le change."] (p. [427]-440)
Jean Rousselot : Elévation, poème [à Abel Rogeon] (p. [441])
Gaston Poulain : Regards dans le soir, poème [pour André Jullien de Breuil] (p. [442])
Géo Vallis : 2-11 Novembre, poème en prose [à mon frère, Georges, aspirant aviateur tombé devant Monastir - précédé de ces quelques lignes d'introduction : "Jour des morts, jour de tous les morts ; et surtout de nos morts de guerre, puisque ceux-ci, s'ils n'avaient point placé notre cause plus haut que leur vie, seraient encore parmi nous, et qu'ils sont tombés non parce que leur temps était venu mais par amour en vérité pour nous. Cette cause, victorieuse, ne nous a point donné ce que nous espérions. Du moins ce n'est qu'à nous, les survivants, qu'il convient que nous nous en prenions. Mais la sagesse est peut-être de considérer que la paix que nous avons eue nous a légué tout de même l'essentiel, à savoir les moyens du relèvement et de la dignité. Bénissons donc cette paix qu'il ne dépend que de nous de faire plus glorieuse, et bénissons en elle ceux qui sont morts pour elle. Souvenons-nous, prolongeons, achevons ce que nos morts ont commencé, construisons une paix qui vaille leur guerre. / C'est dans ces sentiments de reconnaissance que nous ouvrons nos pages à l'émouvante méditation que voici, écrite par Géo Vallis dans un mois de novembre passé, en souvenir d'un frère aviateur tombé devant Monastir."] (p. [443]-447)
CHRONIQUES
Claude Suquet : Messages, aphorismes (p. [448]-450)
Jean-Albert Sorel : La Poésie, compte rendu [de Yanette Delétang-Tardif : Générer (Alfred Quillet éditeur)] (p. [451])
Jean-Albert Sorel : Les Théâtres : Après la mort de Porto-Riche, chronique (p. [452]-455)
Claire-Eliane Engel : Lettres étrangères : Les romans de Thornton Wilder, étude (p. [456]-461)
J[ean]. L[ebrau]. : Les Revues, chronique ["Le bi-millénaire de Virgile n'inspirera certainement rien de supérieur aux pages de M. Robert Brasillach dans la Revue universelle : Jeunesse de Virgile... ; Parmi les meilleurs disciples de ces demi-dieux se dresse Henri Pourrat de toute sa haute taille si souvent penchée sur les moindres herbes et les bestioles - qui lui apprennent tant de choses - de sa terre d'Auvergne. Il a donné à la Nouvelle Revue des Jeunes une délicieuse chronique : des Îles... ; Dans le même numéro de la N. R. D. J. des "souvenirs de la Vaticane" de M. Pierre de Nolhac, un essai de René Schwob sur Marc Chagall. ; The French Quaterly publie une étude de M. A. R. Chisholm sur les sources du "Bateau ivre"... ; Notre ami le poète Maurice-Pierre Boyé fait la chronique de la poésie dans l'Europé illustré, fort luxueuse publication... ; On devrait toujours feuilleter rapidement toutes les publications que l'on reçoit, même celles qui semblent ne s'adresser qu'à des professionnels, de la médecine par exemple, témoin la trouvaille faite dans l'Association médicale d'un régal de haute saveur. Fernand Mazade en effet y parle de certains "cuisiniers grecs"... ; Eugène Montfort, Henri Martineau, Henry Charpentier, Pierre Rossillion, Maxime Revon, et quelques autres compagnons se sont retrouvés pour dresser aux Marges le bilan de "l'année littéraire 1929"..."] (p. [462]-464)
[LISTE ALPHABÉTIQUE DES PETITES REVUES]
[INDEX DES CONTRIBUTEURS]
[INDEX DES RECENSÉS]
[ACTUALITÉ AUTOUR DES PETITES REVUES]

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire