RÉALITÉS SECRÈTES
N° XV-XVI (1er trimestre 1963)
[Date de publication : 1er trimestre 1963 (achevé d'imprimer : 22 Mars 1963) - Couverture : Imprimée en noir sur papier orange (Titre, Sous-Titre, Directeurs, Numéro, Sommaire, Éditeur, Dépôt à Paris) - 2e de couverture : Caisse nationale des lettres / aide à l'édition : Correspondance de Balzac / Correspondance générale de Villiers de l'Isle-Adam - 3e de couverture : Saisons souterraines (poèmes de Robert Desnos, Eugenio Montale, Jean Follain, Alain Borne, Janine Mitaud, Jacques Arnold), avril 1963, n° 1, Rougerie, l'exemplaire : 4 francs - 4e de couverture : Pierre Béarn (Couleurs de mer / Poèmes / l'exemplaire numéroté sur Alfa-Mousse : 5 F), Paule Lavergne (La Mer / Poèmes illustrés par Marie-Thérèse Régerat), l'exemplaire composé en Garamond : 6 F. ; Prix - Page [1] : Faux-Titre (Titre, Sous-Titre, Directeurs, Numéro, Sommaire, Rédaction et Dépôt à Paris, Administration, Abonnement) - Page [2] : Tirage ("Il a été tiré de ce numéro 25 exemplaires sur Alfa-Mousse Navarre, numérotés de 1 à 25") - Bas de page [120] : Achevé d'imprimer, Imprimeur-Gérant - Note sur la mise en page : Les pages ne sont pas numérotées - Pagination : 120 pages]
Alain Borne : [Poèmes] : Si l'ours... ; Ne pas filer la laine... (p. [3]) ; Rien ne brûle ici... ; Pourtant... (p. [4]) ; Le rite, l'assise... ; Manger du riz... (p. [5]) ; Où irons-nous... (p. [6]) ; Je ne sais pas... ; Lentement... (p. [7]) ; Vous le savez... ; Ces rues qui luisent... (p. [8]) ; Là-bas très loin... ; Je veux croire... (p. [9]) ; Mon corps peut-être... ; Je vous écris... (p. [10]) ; De bonne volonté... ; Je ne veux pas... (p. [11]) ; Nous avons notre pain... ; Vous voyez bien... (p. [12]) ; Ne crois pas... ; Même que... (p. [13]) ; Mon cœur je voudrais... ; Douces sources... (p. [14]) ; Il se vêtait... ; Je n'ai rien... (p. [15]) ; Je veux bien être... ; Tant pis... (p. [16]) ; En écoutant bien... (p. [17]) ; Le romarin... (p. [18]), poèmes en prose (p. [3]-[18])
Marcel Béalu : Hommage à Alain Borne, essai (p. [19]-[20])
Marcel Béalu : D'où part le regard : I. La nuit resplendit mon âme s'efface... (p. [21]) ; II. Les anges du scorpion ouvrent leurs ailes... (p. [22]) ; III. L'eau dorée des corps ruisselle du ciel... (p. [23]) ; IV. Tout peut aller à la flamme et devenir... (p. [24]), poèmes en vers libres [en note : "Ces poèmes sont extraits d'un recueil à paraître au printemps prochain, en édition de luxe, aux Editions de Beaune, avec des lithographies de Krebs."] (p. [21]-[24])
Pierre Bettencourt : Lettre de Madagascar, lettre [en épigraphes : "Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime / Plonge-toi dans son sein qu'elle t'offre toujours" ; "Seul un avare, disait Shakir / en riant, veut que sa tête lui / appartienne à lui tout seul !" - signé T.E.L ; "Il est difficile de parler de soi / d'une façon détachée." - signé J. P. ; "Je connais gens de toutes sortes / Ils n'égalent pas leurs destins / Indécis comme feuilles mortes / Leurs yeux sont des feux mal éteints / Leurs cœurs bougent comme leurs portes" - dédié "à J. Princesse de la Chine, son envoyé spécial, Pierre B. Ambrosita, 1 août 1947"] (p. [25]-[42])
Bernard Mazo : Conte fantastique, nouvelle (p. [43]-[46])
Marcelle Delpastre : La Toile (p. [47-48]) ; La Bête (p. [49-50]) ; L'inspiré (p. [51]) ; L'arbre (p. [52]) ; La vieille fille (p. [53-54]) ; Le jeune mort (p. [55]) ; L'arbre (p. [56-58]), poèmes en prose (p. [47]-[58])
Daniel Abel : Délivrances : Authenticité (p. [59]) ; Étreinte (p. [60]) ; Émeraude (p. [61]) ; Arrachement (p. [62]) ; Famille (p. [63]) ; Fenêtre (p. [64]) ; Incendie (p. [65-66]) ; Maman (p. [67]), poèmes en vers libres et en prose (p. [59]-[67])
Gustave Schawb : Les Schildbourgeois, récit [précédé des lignes de présentation suivantes : "Ce récit des faits et gestes baroques des Schildbourgeois méritait d'être recueilli comme un échantillon d'un genre tout particulier. Mais nous avons cru devoir prendre ici par exception quelques libertés et faire un choix parmi toutes ces histoires populaires de la bêtise d'abord feinte, puis réelle, des fantastiques habitants de Schilda. Nous avons cru aussi pouvoir élaguer quelques longueurs inutiles, et tailler par-ci par-là dans les phrases un peu chargées de l'auteur allemand, tout en n'omettant rien de caractéristique dans les parties de ce conte, ou plutôt de cette série de petits contes, que nous avons conservées. (Note des traducteurs, 1892).] (p. [68]-[81])
*** : Remèdes anciens : Des spécifiques (d'après Paracelse) (p. [82-86]) ; De par le roi avis pour donner du secours à ceux que l'on croit noyés (p. [87-91]), recettes (p. [82]-[91])
Max Jacob : Le Nom [à Gabriel Bounoure], récit (p. [92-102]) ; Le promeneur non solitaire [à Pierre-Michel Frenkel], récit (p. [103-108]) ; Les yeux au ventre [à Albert Cohen], poème en vers libres (p. [109-116]) ; Moïse [à Alfred Richet], poème en vers libres (p. [117-119]), récits et poèmes [précédés des lignes de présentation suivantes : "Les textes qui suivent ont paru sous le titre, A la lampe d'Aladin, à Liège, en 1926, sous la forme d'un petit livre tiré à 396 exemplaires."] (p. [92]-[119])
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