L'ERMITAGE N° 46 - AVRIL 1930

L'ERMITAGE
N° 46 (Avril 1930)

[Date de publication : Avril 1930 - Couverture : Titre, Année, Adresse, Sommaire, Numéro, Date, Périodicité - 2e de couverture : Titre, Directeur-fondateur, Prix du numéro, Directeurs, Administrateur, Abonnements, Adresse, Mentions ("Les auteurs sont seuls responsables de leurs articles. / Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. / Les abonnements partent du premier janvier.") - 3e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage (fondée par Georges Heitz) Edition de luxe à tirage limité" (N° 1. - Georges Heitz, Images détachées de l'oubli ; N° 2. - Maurice-Pierre Boyé, L'Escalier d'ombre ; N° 3. - Jacques Delmond, Les Douces-amères ; N° 4. - Claude-Maurice Robert, Le Pèlerin de l'espace ; N° 5. - Robert Milliat, L'Album de mes amis ; N° 6. - Marcel Ormoy, Le Visage retrouvé ; N° 7. - Marcel Clémeur, Images d'un printemps nouveau ; N° 8. - Francis Jammes, Diane ; N° 9. - Maurice Rey, Les Mélancolies passionnées ; N° 10. - Henri de Lescoët, Ciels peints ; N° 11. - Philippe Chabaneix, Comme des songes ; N° 12. - Eugène Lapeyre, Les Regrets) - 4e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage" [suite] (N° 13. - Claude Armel, Poèmes du désir et du plaisir ; N° 14. - Albert Flad, Le Feu dérobé ; N° 15. - Claude Fourcade, Les Fugitives ; N° 16. - Jean-Marie Guislain, Clairières ; N° 17. - Pierre Lély-Poujol, Le Vent du dernier soir) ; Publications "Aux éditions de L'Ermitage" (Paul d'Amarix, Transparences ; Marcel Ormoy, Stèle pour un jeune poète ; Noël Ruet, L'Azur et la flamme ; Georges Heitz, Dans le champ des Lettres ; Georges Heitz, Ecrit sur le sable) ; Mention ("Les volumes de la Collection poétique de L'Ermitage et des Editions de L'Ermitage sont en dépôt à la Librairie Eos, 56 rue de la Pompe, Paris 16e (Téléph. Auteuil 29-70), qui peut fournir aussi les numéros de l'année en cours de la revue L'Ermitage.") - p. [161] : Titre - Page 208 : Imprimeur ; Gérant - Pagination : 48 pages]

Sommaire

Pierre de Nolhac : A la Muse de Virgile, poème [Poème récité à la Sorbonne, le 25 mars 1930, pour la célébration du deuxième millénaire de Virgile - sous la signature de l'auteur, cette précision : "de l'Académie Française"] (p. [161]-162)

Guy Lavaud : Poétique du Ciel, poème [en note : "D'un recueil à paraître sous ce titre chez Emile-Paul] (p. [163]-164)

Claude-Maurice Robert : La Mosquée au palmier : Alceste au désert, récit [Pour Jean Lebrau - daté "A El Oued"] (p. [165]-168)

Henri Bernet : Réponse, poème [à Jacques Reynaud - daté "août 1929"] (p. [169]-171)

Jean Labbé : Offrande au passé (p. [172]), "Je m'étais éveillé d'un sentiment si fort..." [en épigraphe, citation des Eblouissements : "Quelquefois dans la nuit on s'éveille en sursaut..."] (p. [173]-174), poèmes (p. [172]-174)

Ramon Maria Tenreiro : La Littérature espagnole au XXe siècle, étude [2e et 3e parties - auteurs cités et commentés : José Ortega y Gasset, Eugenio d'Ors, Luis de Zulueta, Ramon Perez de Ayala, Manuel Azana, Gabriel Miro, Ricardo Leon, Hernandez Cata, W. Fernandez Florez, Julio Camba, Antonio Machado, Juan Ramon Jiménez, Enrique Diez Canedo, Enrique de Mesa, Eduardo Marquina, Jacinto Grau, Americo Castro, Pedro Sainz Rodriguez, Agustin G. de Amezua, Ramon Gomez de la Serna, Jorge Guillen, Pedro Salinas, Federico Garcia Lorca, Rafael Alberti, Antonio Espina, Claudio de la Torre, Benjamin Jarnés, José Bergamin, Antonio Marichalar - traduction de Mathilde Pomès] (p. [175]-190)

CHRONIQUES

Paul d'Amarix : Le Temps qui court, chronique [à propos de Francis Jammes : Champêtreries et médiations] (p. [191]-192)

F[ernand]. M[azade]. : Les Poèmes, compte rendu [de Théo Varlet : Ad Astra (Messein)] (p. [193]-195)

Jean Lebrau, Edmond Pilon : La Prose, comptes rendus [de Edgar Poe : Lettres à John Allan, traduction française d'André Fontainas (Editions G. Crès et Cie), signé Edmond Pilon (p. [196]-199) ; Princesse Bibesco : Quatre portraits (Grasset), signé Jean Lebrau (p. 199-201) ; François Mauriac : Dieu et Mammon avec un portrait inédit et deux eaux-fortes originales dessinées et gravée sur cuivre par G. Goor (aux éditions du Capitole) ; Mes plus lointains souvenirs, avec un portrait par Constant Le Breton (Hazan), signé Jean Lebrau (p. 201)] (p. [196]-201)

Jean-Albert Sorel : Les Théâtres, compte rendu [de Juliette ou La Clé des songes, pièce en trois actes de Georges Neveux, au Théâtre de l'Avenue] (p. [202]-204)

J[ean]. L[ebrau]. : Les Aquarelles de Jean Dolfus, hommage (p. [205]-207)

J[ean]. L[ebrau]. : Les Revues, chronique ["Tandis qu'André Fontainas évoque dans Figaro les samedis de José Maria de Heredia, M. Henri de Régnier poursuit dans les Nouvelles littéraires - où il convient de signaler également deux articles provoqués par le centenaire de Mistral, l'un de M. Camille Jullian, l'autre de Maurice Bedel, d'un pittoresque, hélas ! trop réel, - la série de ses Faces et Profils par un "Mallamé" de première main et par un "Laforgue" dont les Moralités légendaires étaient pour Mallarmé "les Contes de Votaire du Symbolisme". C'est encore dans les Nouvelles littéraires que M. Fernand Gregh consacre au dernier livre de M. Henri Brémond : Divertissements devant l'Arche un article tout plein du bonheur que lui a procuré sa lecture... ; De notre ami Pourrat la Nouvelle Revue Française publie une œuvre nouvelle : Le Meneur de loups, où l'on retrouve toutes les qualités de poète et de conteur qui nous rendent cher entre tous un tel écrivain. Dans le même numéro de février de la N. R. F. des documents sur la mort de Tolstoï à Astapovo... ; Les notes que publient chaque quinzaine et tour à tour, dans la Revue universelle, MM. Jacques Bainville et Henri Massis, en marge de leurs lectures, sont toujours du plus vif intérêt... ; Après avoir signalé dans Documents, publication des plus confortables, et superbement illustrée, un Eloge de l'imprudence par Marcel Jouhandeau et une étude de M. Georges Bataille sur le Gros orteil, partie la plus humaine du corps humain (le Gros orteil, quel titre pour une revue d'avant-garde !) saluons les potes, Charles Bauby, Jacques Saisset dans la Tramontane, Armand Bernier, Roger Bodart dans le Thyrse, qui adresse un bel adieu à Emile Cottinet, et enfin la jeune équipe de Jeunesse dont nous parvient le premier numéro, sous la double direction, à Bordeaux, de Jean Germain et Pierre Malacamp à qui le souvenir des Corbières inspire un sonnet harmonieux. ; Tant que la jeunesse aura, vers qui lever les yeux, des maîtres comme M. Pierre de Nolhac qui vient de donner à la Revue des deux mondes un des plus beaux poèmes de notre langue "Aux provinces de Mistral" on pourra dire : Heureuse jeunesse !"] (p. 207-208)

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