jeudi 9 mai 2013

LE QUADRIGE N°3 - JANVIER 1913

N°3 (Janvier 1913)
[Date de publication : Janvier 1913 - Couverture : Imprimée en noir sur papier vert (Numéro, Date, Titre, Sous-Titre, Directeurs, Adresse, Prix du Numéro et de l'Abonnement, Éditeur) - 2e de couverture : Sommaire - 3e et 4e de couverture : muettes - Page [1] : En-tête (Titre, Numéro, Date) - Bas de Page [16] : Gérant - Pagination : 16 pages]
Sommaire
Sylvain Royé : L'aimable accueil, prose [daté "Décembre 1912"] (p. [1]-2)
Abel Léger : Le vertige d'aimer, sonnet (p. 2-3)
Georges Martin : Images d’Épinal : Molière et Sacha Guitry (p. 3-5)
LE POUR ET LE CONTRE
André Biguet : Pour la Sincérité (p. 5-6)
Marcel Ormoy : Contre la Sincérité (p. 7-8)

Marcel Millet : Les Collines, poème en vers libres [A Gabriel Reuillard - Extrait de "La Route vers la Mer" poème à paraître. Ed. des Horizons"] (p. 8-9)

Pierre Arrou : L'Hiver, sonnet [daté "3 octobre 1912"] (p. 10)

Lucien-Claude Lafontaine : Erik Satie (p. 10-12)
Sylvain Royé : Les jeunes Revues [Avec décembre, voici le flot ininterrompu des revues dites jeunes. Ce sont les naissantes qui hésitent encore dans le désordre d'une rédaction aux noms inconnus. Ce sont les anciennes "nouvelle série" qui sommeillèrent trois ou quatre mois, ce sont les sérieuses qui n'eurent nul besoin d'aller reprendre des forces à la mer ou à la campagne, et qui continuent sagement leur parution périodique. Sous leurs couvertures bleues, vertes, rouges, grises, elles nous arrivent et le bruit de leurs feuilles au gré de nos doigts est comme une chanson d'espoir. Hélas ! Souvent lorsque le signet a glissé entre les pages, nous nous apercevons de notre leurre. Trop de jeunes revues n'ont rien de juvénile, ni l'ardeur, ni la foi, ni la sincérité, ni la colère. Elles méconnaissent la lumière et l'originalité. / Cependant parmi les plus consciencieuses voici les Marches de Provence. Après s'être consacrée excessivement à des "numéros spéciaux" cette abondante revue nous livre des petits poèmes de Marcel Prouille et de Charles Carrau qui rivalisent de fluidité et de charme, et des chroniques de J. Aurélien Coulanges et de Jean-Marc Bernard. ; Dans Ombres et Formes, les premières réponses à l'enquête sur Romain Rolland précèdent un poème ardent de Mme Henriette Sauret et de M. Maxime Revon une étude très complète de la pièce que M. Georges Duhamel fit représenter à l'Odéon. ; La Renaissance Contemporaine nous annonçant une nouvelle enquête je serais bien porté à crier "Grâce !" si la dite enquête n'était pas confiée à M. Jean Muller en qui j'honore un de nos plus avisés critiques littéraires. Pour nous faire oublier sans doute cette fâcheuse nouvelle, M. Georges Martin nous révèle spirituellement en le poète Lebrun Pindare un prédécesseur du Victor-Hugo des Orientales. Proche de cette amusante résurrection quelques pages de M. Martin Mamy traitent de M. Henry (sic) de Régnier, critique. ; La Clarté qui fait ses débuts sous la Direction de MM. Octave Béliard et Paul Desanges, donne un article sagement composé de M. P. Davriès sur les musiciens profanes de la Renaissance française et des vers harmonieux de M. Rémy Beaurieux. ; Les Horizons dont M. Marcel Millet est la lumière accueillante s'ouvrent sur une nouvelle émue de M. Henry Strentz et contiennent un poème de M. Georges Bannerot dont j'aime l'intimisme simple et largement rythmé. ; Mme Lucien Rolmer sait animer de son sourire La Flora, revue de l'art gracieux dont je confesse ne trouver la grâce que dans sa Lettre de la Parisienne. ; Je goûte dans Pan un modernisme, une légèreté aimable et caustique que je ne retrouve dans nulle autre revue. M. Pierre Lestringuez a écrit douloureusement la première heure du petit malade et M. Léon Vérane a ciselé un court poème avec la plus délicate exactitude. La consolation que M. Fernand Divoire offre au poète Abel Bonnard est un petit chef-d’œuvre d'ironie ; et Pan se renferme sur le toujours intéressant "Promenoir" de M. Cottinet. ; L'enveloppe rose du Penseur recèle comme d'ordinaire, un des meilleurs recueils mensuels. M. Lucien Ghiselle y parle avec autant d'esprit que de science des à côtés des amours d'Héloïse et d'Abélard. M. Jules de Marthold sort de sa bibliothèque pour notre joyeuse curiosité une plaquette datée 1849 "Napoléoncle". Dans ce même numéro : de beaux vers de M. Fernand Rivet. ; M. Julien Ochsé prouve une fois de plus dans l'Ile Sonnante qu'il a du talent et M. Tristan Derême qu'il sait habilement parler de la pipe à tout propos. On ne sait plus, à la vérité, si l'on doit se fâcher de voir ainsi la pipe dans tous les poèmes de MM. Tristan Derême, Francis Carco et Marcel Prouille ou si l'on doit féliciter cette fameuse pipe d'être chantée si gentiment. ; Parmi tant d'articles savants et sévères signés André Suarès, C. Van den Borren, Robert Chauvelot... S. I. M., revue luxueuse et influente s'éclaire du sourire narquois et sympathique de M. Erik Satie, dont la fantaisie ne connaît que les bornes de la plus parfaite éducation. Souhaitons à maints fantaisistes, une semblable mesure. ; Mais voici que sur ma table il ne reste qu'une mince revue gris-bleue. La présentation en est modeste, mais le sommaire compte parmi les plus choisis. L'Occident n'est pas une revue neuve. En vanter la tenue est un peu désuet. Cependant comment ne pas citer les vers de M. René Chalupt qui sautillent, trébuchent comme par hasard et reprennent leur équilibre sans vouloir s'en apercevoir ? Ces quatre poésies sont un délice de ton et de goût. Dans leur inexpérience feinte tient tout un art. ; Note. - A M. Jean Clary est confié le service de presse de la maison d'édition Figuière et Cie. M. Jean Clary reçoit le mercredi et le vendredi de 5 à 7 heures, 7, rue Corneille.] (p. 13-15)

Henriette Sauret : L'Appel à l'Héroïsme, poème (p. 15)

Gaston Picard : Mon petit carnet rose [daté "Décembre 1912"] (p. 16)
Document
"Mon petit carnet rose"
Les Goncourt pouvaient couronner un beau livre. M. Bernard Combette, dans Des Hommes, a donné des contes d'un pittoresque qui n'est pas habituel aux petites histoires d'amour imbéciles dont les quotidiens réjouissent leur public. Mais à M. Bernard Combette, les Goncourt préfèrent M. André Savignon, journaliste qui honore de sa prose, les gazettes d'Outre-Manche. Et M. Julien Benda ? Il y eut un cas Benda, celui-ci étant né juif. On crut un instant que "l'affaire" allait recommencer.
.
*
Tout cela ne consolera pas tel jeune écrivain qui depuis longtemps "travaillait" tout spécialement pour le prix Goncourt. Il avait évoqué dans un style très artiste des scènes très osées... Mais aujourd'hui, les Goncourt n'aiment pas l'excentricité. Il leur faut des choses très douces... A-t-on assez vanté la fin de ce Monsieur des Lourdines, couronné voici un an ? Le violon rappelant une âme égarée au sentiment de la famille ! Cela nous ramenait aux pires sentimentalités de clair de lune. Et dans quel style !... Un style que l’Élève Gilles envierait.
*
J'écris ces lignes un Jour de Noël... Ah ! les belles histoires de Noël..., la crèche, l'enfant Jésus, la neige, surtout la neige... Oui de la pluie et de la boue. Il est beau le jour de Noël ! Encore une chose qui f... le camp. C'est la faute des calendriers. Pourquoi annoncer une fête tel jour où sait que le ciel - par dédain, peut-être, de notre humble hommage - réserve ses plus gris sourires !
*
La critique vient seulement de "découvrir" M. Paul Claudel, qui écrit depuis vingt ans. Allons, les "jeunes", ne désespérez pas tout arrive.
*
Et le nécessaire, n'est-ce pas ? c'est d'arriver.
Gaston PICARD.
Décembre 1912

mercredi 8 mai 2013

LE QUADRIGE N°2 - DÉCEMBRE 1912


N°2 (Décembre 1912)
[Date de publication : Décembre 1912 - Couverture : Imprimée en noir sur papier vert (Numéro, Date, Titre, Sous-Titre, Directeurs, Adresse, Prix du Numéro et de l'Abonnement, Éditeur) - 2e de couverture : Sommaire - 3e et 4e de couverture : muettes - Page [1] : En-tête (Titre, Numéro, Date) - Bas de Page [16] : Gérant - Pagination : 16 pages]
Sommaire
Lucien-Claude Lafontaine : Romain Rolland (p. [1]-5)
René Dinard : Sa grandeur, sonnet (p. 6)
Marcel Ormoy : Province, poèmes [numérotés I et II] (p. 6-7)

Yvonne Lemaistre : Une nuit à Fiesole [daté "Florence, novembre 1912"] (p. 7-8)
Sylvain Royé, Jean Lemoine : Les livres de prose [Les paraboles cyniques. - Han Ryner, (E. Figuière éd.) signé Sylvain Royé (p. 8-9) ; Les Taciturnes - Robert Scheffer, (Fig. éd.) signé Jean Lemoine (p. 9-11)] (p. 8-11)

Henriette Sauret : Proses : I. La petite fille au jardin (p. 11) ; II. En montagne (p. 12), poèmes en prose (p. 11-12)

Gaston Picard : Mon petit carnet rose [daté "Nov. 1912"] (p. 12-14)

Sylvain Royé : L'angoisse du soir [Pour Roland Manuel - daté "Août 1912"], poème (p. 14-16)
Document
"Mon petit carnet rose"
La République des Lettres a un nouveau Prince : M. Louis de Gonzague-Erick (sic), Prince de la Dédicace.
Ce délicat poète possède les livres les plus curieusement dédicacés. Même, il lui arrive de dicter à ses amis les dédicaces qu'ils écrivent pour d'autres amis, sur leurs livres. M. Louis de Gonzague-Erick (sic) devrait, je ne dis pas fonder, mais ouvrir une École de Dédicace. Ce serait la mort du si détestable "hommage de l'auteur". Et le bon goût y gagnerait.
*
A MM. de Flers et de Caillavet, l'Académie française a donné un prix de quatre mille francs. Les heureux auteurs ont écrit depuis, une satire très vive de l'Académie française. Bravo !... Mais ils ont gardé les quatre mille francs.
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On peut lire aujourd'hui pour un sou, un roman complet. Est-ce bien le dernier mot de l'édition ? Un temps viendra où les maisons de mode, les épiceries et cirques, donneront à leur clientèle en prime gracieuse, les œuvres complètes de tel écrivain connu. M. Georges Ohnet, voire M. Henri Bordeaux, ne se prêteraient-ils pas avec joie à cette combinaison ?
*
Ne trouveriez-vous pas étrange que des officiers se permettent de dire beaucoup de mal de la guerre, quand ils vivent d'un métier qui a pour raison d'être précisément la guerre ? Il y a cependant deux officiers comme cela, deux officiers de marine, par ailleurs écrivains, dont l'un de beaucoup de talent, MM. Pierre Loti et Claude Farrère. Comme les États Balkaniques triomphaient splendidement d'une race pourrie, ils s'écrièrent : Ah la guerre est une infâme chose. - Et comme on rapportait les cruautés sadiques commises par leurs amis d'Orient sur de pauvres paysans d'Arménie, ils proclamèrent : Les Turcs sont les plus généreux des hommes !
*
C'est une petite fille, une très petite fille. Elle tient de son père, l'esprit ; de sa mère, la grâce. Elle aime les vers de Hugo, et elle joue aux dames. Son sourire est une fleur douce, et ses yeux des miroirs candides. Il faudrait les adjectifs les plus aimables, Jeanne-Paul Fort pour faire votre portrait. J'y renonce.
Gaston PICARD.
Nov. 1912.
NOTE. - Nous sommes heureux de recommander aux lecteurs du Quadrige, le Théâtre d'Art Libre qui représente les meilleures pièces inédites des jeunes auteurs, deux fois le mois, en la Salle de l'Athénée Saint-Germain.
M. René de Campéos, directeur du Théâtre d'Art Libre, 34 Rue du Laos, lit tous les manuscrits envoyés à cette adresse. Notre collaborateur et ami, M. Gaston Picard, est le secrétaire général du Théâtre d'Art Libre.

POÈMES DE FRANCE N°30 - 1er JANVIER 1917

POÈMES DE FRANCE
N°30 (1er Janvier 1917)
[Date de publication : 1er janvier 1917 - Couverture : Sans (en-tête sur la première page) - Page [233] : En-Tête (Périodicité, Numéro, Sous-Titre, Mention ("Ne se vend que par Abonnement"), Titre, Année, Rédacteur, Mention ("En vente chez l'auteur"), Abonnement, Date, Adresse) - Bas de Page 240 : "Vient de paraître : ANTHOLOGIE DES BALLADES FRANÇAISES / par Paul FORT / Volume à 3 fr. 50. - Japon : 20 fr. - Hollande : 15 fr. / Au "Mercure de France", 26, Rue de Condé. - Paris" ; "Par suite d'une amicale entente avec la direction de 'L'Opinion', Journal de la Semaine, les POÈMES DE FRANCE seront publiés inédits dans ce journal avant de paraître dans le présent Bulletin." ; Encart publicitaire pour L'Opinion ; "Ce N° 30 des Poèmes de France fait suite au N° du 1er novembre dernier (N° 29)" ; Imprimeur, Gérant - Pagination : 8 pages]
Sommaire
Paul Fort : Jacques Bonhomme-de-neige et le poète rémois [A Raymond Poincaré - en épigraphe, citations de François Villon : "Tant crie-on Noël qu'il vient", et du Lai d'Aalis : "France débonnaire, de ta grant franchise / Ne porrait retraire nuls en nulle guise."] (p. [233]-236)
Paul Fort : Notre-Dame de sous-terre (front de Champagne) [A M. L. Gillon] (p.236-237)
Paul Fort : Les promeneurs du beau jardin (mai 1916) (p. [238]-239)

Paul Fort : Joie printanière ou le petit faune du Luxembourg (p. 239-240)

POÈMES DE FRANCE N°29 - 1er NOVEMBRE 1916

POÈMES DE FRANCE
N°29 (1er Novembre 1916)
[Date de publication : 1er novembre 1916 - Couverture : Sans (en-tête sur la première page) - Page [225] : En-Tête (Périodicité, Numéro, Sous-Titre, Mention ("Ne se vend que par Abonnement"), Titre, Année, Rédacteur, Mention ("En vente chez l'auteur"), Abonnement, Date, Adresse) - Page [232] : En souscription payable après réception du volume / Pour paraître le 15 Décembre 1916 / 1897-1916 ANTHOLOGIE DES BALLADES FRANÇAISES par Paul FORT / Cette Anthologie - fort volume de 400 pages - contient un très grand nombre de poèmes tirés des vingt tomes des "BALLADES FRANÇAISES" de Paul Fort, parus de 1897 à 1916 et dont les titres suivent : (liste) / Prix du volume : 3 fr. 50 / Exemplaires de luxe numérotés : Japon, 20 fr. - Hollande, 15 fr. / Prière d'adresser les adhésions au Directeur des "POEMES DE FRANCE", 34, Rue Gay-Lussac. Paris (Ve) - Bas de Page [232] : Imprimeur, Gérant - Pagination : 8 pages]
Sommaire
Paul Fort : Notre Dieu des Armées [A Henry Cochin] (p. [225])
Paul Fort : L'auxiliaire en vacance d'un jour [A M. Georges Deschamps - daté "Saint-Michel-sur-Orge"] (p. [226]-227)
Paul Fort : Soir de juillet au Luxembourg (p. [228])

Paul Fort : Désir de l'âme [A M. Gaston Vallin] (p. [229])

Paul Fort : La cabane du pauvre [A Antoine Girard] (p. [229]-231)

Paul Fort : L'adieu (p. 231)

mardi 30 avril 2013

POÈMES DE FRANCE N°28 - 1er OCTOBRE 1916

POÈMES DE FRANCE
N°28 (1er Octobre 1916)
[Date de publication : 1er octobre 1916 - Couverture : Sans (en-tête sur la première page) - Page [217] : En-Tête (Périodicité, Numéro, Sous-Titre, Mention ("Ne se vend que par Abonnement"), Titre, Année, Rédacteur, Mention ("En vente chez l'auteur"), Abonnement, Date, Adresse) - Bas de Page 224 : "Par suite d'une amicale entente avec la direction de 'L'Opinion', Journal de la Semaine, les POÈMES DE FRANCE seront publiés inédits dans ce journal avant de paraître dans le présent Bulletin." ; Encart publicitaire pour L'Opinion ; "Ce N° 28 des Poèmes de France fait suite au N° du 1er septembre dernier (N° 27)" ; Imprimeur, Gérant - Pagination : 8 pages]
Sommaire
Paul Fort : France-Apollon (p. [217])
Paul Fort : L'aigle du dôme [A mon caporal Jacques Guillaumeron] (p. [218])
Paul Fort : On fauche les foins aux Invalides (p. [218]-219)

Paul Fort : Notre Dame de la Gloire [A M. Maurice Lange] (p. 219-221)

Paul Fort : Sous la clarté du ciel serein (p. 221)

Paul Fort : Je n'irai plus aux bois, nos bûcherons sont partis [A M. Gabriel Thomas - daté "Forêt de Linas, juillet 1916] (p. 221-222)

Paul Fort : Le remords [A Mme Tony Dreyfus] (p. 222)

Paul Fort : Les filles du Roi d'Espagne, chanson française [A Mlle Aimée de Horrack] (p. [223]-224)

POÈMES DE FRANCE N°27 - 1er SEPTEMBRE 1916

POÈMES DE FRANCE
N°27 (1er Septembre 1916)
[Date de publication : 1er septembre 1916 - Couverture : Sans (en-tête sur la première page) - Page [209] : En-Tête (Périodicité, Numéro, Sous-Titre, Mention ("Ne se vend que par Abonnement"), Titre, Année, Rédacteur, Mention ("En vente chez l'auteur"), Abonnement, Date, Adresse) - Bas de Page 216 : "Par suite d'une amicale entente avec la direction de 'L'Opinion', Journal de la Semaine (4, rue Chauveau-Lagarde, Paris), les POÈMES DE FRANCE seront publiés inédits dans ce journal avant de paraître dans le présent Bulletin." ; "Ce N° 27 fait suite au N° du 15 janvier dernier (N° 26)" ; Imprimeur, Gérant - Pagination : 8 pages]
Sommaire
Paul Fort : Proses du temps de guerre [A G. Fuss-Amoré] : Voilà pourquoi nos enfants sont des héros [A Léon Bernard] (p. [209]-213)
Paul Fort : La mort de Pierre - élégie du souvenir [en chapeau : "Pierre M..., sous-lieutenant au ...e d'artillerie, combattait au front depuis le début des hostilités... Ce jeune officier était une intelligence d'élite, et vraiment un poète... Le 14 mars dernier, en Champagne, un obus de 15 tomba sur l'abri où il s'était réfugié pendant un bombardement ennemi et l'ensevelit. "Toute la nuit, écrit le colonel H..., nous avons cherché à lui porter secours. Le matin, nous avons pu le retirer des décombres ; il avait donné simplement sa vie à la Patrie."] (p. 213-216)

lundi 29 avril 2013

POÈMES DE FRANCE N°26 - 15 JANVIER 1916

POÈMES DE FRANCE
N°26 (15 Janvier 1916)
[Date de publication : 15 janvier 1916 - Couverture : Sans (en-tête sur la première page) - Page [201] : En-Tête (Périodicité, Numéro, Sous-Titre, Mention ("Ne se vend que par Abonnement"), Titre, Année, Rédacteur, Deuxième Année, Abonnement, Date, Adresse) - Bas de Page [208] : Dans le prochain numéro : LA BATAILLE DE CHAMPAGNE ; Imprimeur, Gérant - Pagination : 8 pages]
Sommaire
Paul Fort : Complainte des soldates [Aux Serbes] (p. [201])
Paul Fort : Anciennes gloires et victoires ou la légende de Saint Berzillé [Fin] (p. [202]-208)

POÈMES DE FRANCE N°25 - 1er JANVIER 1916

POÈMES DE FRANCE
N°25 (1er Janvier 1916)
[Date de publication : 1er janvier 1916 - Couverture : Sans (en-tête sur la première page) - Page [193] : En-Tête (Périodicité, Numéro, Sous-Titre, Mention ("Ne se vend que par Abonnement"), Titre, Année, Rédacteur, Deuxième Année, Abonnement, Date, Adresse) - Bas de Page [200] : Imprimeur, Gérant - Pagination : 8 pages]
Sommaire
Paul Fort : Anciennes gloires et victoires ou la légende de Saint Berzillé [A Élémir Bourges - "La fin au prochain numéro"] (p. [193]-199)
Paul Fort : Etrennes aux pacifistes des pays neutres : Merde ! [en épigraphe, citation de Cambronne : "La garde meurt et ne se rend pas."] (p. [200])

samedi 27 avril 2013

POÈMES DE FRANCE N°24 - 15 NOVEMBRE 1915

POÈMES DE FRANCE
N°24 (15 Novembre 1915)
[Date de publication : 15 novembre 1915 - Couverture : Sans (en-tête sur la première page) - Page [185] : En-Tête (Périodicité, Numéro, Sous-Titre, Mention ("Ne se vend que par Abonnement"), Titre, Année, Rédacteur, Dépôt, Abonnement, Date, Adresse) - Bas de Page 189 : "Fin de la première année des "Poèmes de France" - Pages [190]-192 : Table de la première année des "Poèmes de France", Bulletin lyrique de la Guerre (Décembre 1914-Novembre 1915) - Bas de Page [192] : Imprimeur, Gérant - Pagination : 8 pages]
Sommaire
Paul Fort : Le Coq de Reims [A Jean Prouvaire - daté "Novembre 1915"] (p. [185])
Paul Fort : Les vallons de l'Argonne (p. [186])

Paul Fort : Vision [A M. Paul Cuny] (p. [186]-187)

Paul Fort : Les pêcheurs du Pont-Neuf [en épigraphe, citation d'Un journal du soir : "Hier, maints bourgeois se livraient sous le Pont-Neuf, aux douceurs de la pêche à la ligne... Et l'on se bat à Soissons !... Philosophie ? Inconscience ?"] (p. 187)

Paul Fort : Comme un poète chantait avant la guerre... [En souvenir de la Ferté-Milon patrie de Jean Racine - en épigraphe : "Les Allemands ont fait sauter le pont de l'Ourcq à la Ferté-Milon" - daté "1912"] (p. [188]-189)

Paul Fort : La Ronde [en bas de poème, note : "Mon plus ancien poème..."] (p. 189)

POÈMES DE FRANCE N°23 - 1er NOVEMBRE 1915

POÈMES DE FRANCE
N°23 (1er Novembre 1915)
[Date de publication : 1er novembre 1915 - Couverture : Sans (en-tête sur la première page) - Page [177] : En-Tête (Périodicité, Numéro, Sous-Titre, Mention ("Ne se vend que par Abonnement"), Titre, Année, Rédacteur, Dépôt, Abonnement, Date, Adresse) - Bas de Page [184] : Imprimeur, Gérant - Pagination : 8 pages]
Sommaire
Paul Fort : L'ombre de l'épopée ou la voix d'Homère [A Anatole France - en épigraphe, citation de "J'accuse ! par un Allemand" : "Un Rinaldo Rinaldini, un Richard III, un César Borgia sont des monstres, mais ils sont grands dans leur genre, et ils éveillent l'admiration comme chaque type d'homme parfait en soi. Mais nous, comme nous sommes petits !"] (p. [177]-184)