LE BEAU NAVIRE
N° 8 (avril 1939)
[Date de publication : Avril 1939 - Couverture : Titre, Sous-Titre, Année (2e), Numéro, Date, Sommaire et Collaborateurs, Marque (illustration : ancre aux initiales de la revue), Lieu de publication - 2e de couverture : Titre, Sous-Titre, Périodicité, Directeur, Comité de rédaction, Administrateur, Mentions ("Les manuscrits et toute correspondance intéressant la rédaction doivent être adressés à M. Maurice Chapelan, qui reçoit les premier et troisième samedis, de 15 à 18 heures, au siège de la Revue, 21, rue Guénégaud, Paris (VIe)." ; "Les abonnements doivent être adressés à M. Maurice Chesnot, 71, rue Croix-Nivert, Paris (XVe). Envois de fonds : C. C. P., 40-46, Paris.") ; Abonnements ; Mentions ("Les signataires sont seuls responsables de leurs articles. Les manuscrits ne sont pas rendus. / LE BEAU NAVIRE ne publie que de l'inédit. / Reproduction et traduction interdites pour tous pays.") - 3e de couverture : "Les éditions de la revue LE BEAU NAVIRE se chargent de publier sous une forme très soignée les ouvrages de vers qui seront retenus par son comité de lecture. / Vient de paraître : / Luc Estang / TRANSHUMANCES... / Les commandes sont reçues par M. Maurice Chesnot, 71, rue Croix-Nivert, Paris-XVe / Le règlement s'effectuera à la livraison du volume auquel sera joint une formule de chèque postal." - 4e de couverture : Mention ("Seule revue anthologique de la poésie française") ; Prix du numéro - Page [49] : citation de Walt Whitman ("J'annonce une vie qui sera copieuse, véhémente, spirituelle, hardie. / J'annonce une fin qui, d'un cœur léger et allègre, accueillera son transfert.") - Page [96] : Imprimeur ; Gérant - Pagination : 48 pages]
[Henri] Olive-Tamari : Luc Estang, portrait [dessin] (p. [50])
Jean de Bosschère : Milosz - le poète, étude (p. 51-60)
O.-V. de L. Milosz : Symphonie de novembre, poème en vers libres (p. 61-63)
Audiberti : Dessin, dessin (p. [64])
Audiberti : Saint Augustin, poème (p. 65-69)
Marguerite Soleillant : "Je mettrai ma main dans les ronds...", poème (p. 70)
Gisèle Prassinos : Boulanger (p. 71) ; Le guerrier (p. 72) ; Le Fou (p. 73), poèmes en vers libres (p. 71-73)
Maurice Fombeure : Loisible à Dieu (p. 74) ; Poème d'amour (p. 75), poèmes (p. 74-75)
Albert Flad : Insomnie, poème (p. 76)
Luc Estang : Printemps en pleine mort [A Jean Cayrol] (p. 77-78) ; Le pêcheur d'algues (p. 79-80), poèmes (p. 77-80)
Robert Delahaye : Stratégie des eaux (fragments), poème (p. 81-83)
Jean Tortel : "Les grands herbages bleus sont couchés sur la terre...", poème en vers libres (p. 84-85)
Maurice Chapelan, L[uc]. E[stang]. : Critique [Jules Supervielle : La Fable du Monde (N.R.F.) - (p. 86-89) ; Léon-Gabriel Gros : Saint Jean du Désert (Les Cahiers du Journal des poètes) - (p. 89-91) - signés Maurice Chapelan ; Maurice Fombeure : A pas de souris (Les Carnets de l'Oiseau-Mouche) - (p. 91) ; Noël Ruet : Les roses de Noël ; Pierre Moussarie : Chemin vicinal (Ed. de la Bouteille à la mer) - (p. 92) ; Roger Michaël : Contacts (Ed. de la Bouteille à la mer) - (p. 93) - signés L. E.], comptes rendus (p. 86-93)
La Vigie : Tour d'horizon [La Nouvelle Revue Française (Mars). - M. François-Paul Alibert a composé un long pensum en rimes plates. Le secret de cette rhétorique, c'est d'être Racine revu par Valéry... ; Les Cahiers du Sud. (Janvier). - Des poèmes de Jean Cayrol, René-Jean Clot, Rolland de Renéville. Ce dernier montre, une fois de plus, qu'un bon théoricien est rarement un bon poète... ; (Février). - D'excellents poèmes de René Laporte et Jean Tortel. Trois poèmes inachevés d'Eluard. Inachevés ? Cela se sent... ; Points et Contrepoints. - Consacre son numéro de février à Vincent Muselli... ; La Bouteille à la Mer (Janvier-Février). - Des vers de Mme Pierrette Sartin, de MM. Hugues Fouras, Fernand Lot, Jean Berthet, Roger Michael, Paul Pugnaud, Pierre Moussarie. Il faudrait tout citer de cette séduisante équipe de poètes sans prétentions, qui ont tous du talent, de la fantaisie et, qualité plus rare, du goût... ; La Muse française (Février). - Une découverte, dans ce temple de la poésie traditionnelle, ordinairement sans surprises : "Industrie" (de Ninette Collins)...], chronique (p. 94-[96])
"Luc Estang", par Olive-Tamari
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