mardi 25 novembre 2025

L'ERMITAGE N° 44 - FEVRIER 1930


L'ERMITAGE
N° 44 (Février 1930)
[Date de publication : Février 1930 - Couverture : Titre, Année, Adresse, Sommaire, Numéro, Date, Périodicité - 2e de couverture : Titre, Directeur-fondateur, Prix du numéro, Directeurs, Administrateur, Abonnements, Adresse, Mentions ("Les auteurs sont seuls responsables de leurs articles. / Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. / Les abonnements partent du premier janvier.") ; Mention ("Prière à nos abonnés de vouloir bien envoyer, par mandat-carte payable à domicile, 81 rue de la Tour, Paris 16e, ou au compte de chèque postal Paris 1188-58, le montant de l'abonnement de 1930 : soit la somme de 25 francs pour la France et les Colonies, et de 30 francs pour l'étranger. / Nous ferons présenter, par la poste, grevées des frais de recouvrement, les quittances d'abonnements qui n'auraient pas été réglées pour le 15 février prochain.") - 3e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage (fondée par Georges Heitz) Edition de luxe à tirage limité" (N° 1. - Georges Heitz, Images détachées de l'oubli ; N° 2. - Maurice-Pierre Boyé, L'Escalier d'ombre ; N° 3. - Jacques Delmond, Les Douces-amères ; N° 4. - Claude-Maurice Robert, Le Pèlerin de l'espace ; N° 5. - Robert Milliat, L'Album de mes amis ; N° 6. - Marcel Ormoy, Le Visage retrouvé ; N° 7. - Marcel Clémeur, Images d'un printemps nouveau ; N° 8. - Francis Jammes, Diane ; N° 9. - Maurice Rey, Les Mélancolies passionnées ; N° 10. - Henri de Lescoët, Ciels peints ; N° 11. - Philippe Chabaneix, Comme des songes ; N° 12. - Eugène Lapeyre, Les Regrets) - 4e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage" [suite] (N° 13. - Claude Armel, Poèmes du désir et du plaisir ; N° 14. - Albert Flad, Le Feu dérobé ; N° 15. - Claude Fourcade, Les Fugitives ; N° 16. - Jean-Marie Guislain, Clairières ; N° 17. - Pierre Lély-Poujol, Le Vent du dernier soir) ; Publications "Aux éditions de L'Ermitage" (Paul d'Amarix, Transparences ; Marcel Ormoy, Stèle pour un jeune poète ; Noël Ruet, L'Azur et la flamme ; Georges Heitz, Dans le champ des Lettres ; Georges Heitz, Ecrit sur le sable) ; Mention ("Les volumes de la Collection poétique de L'Ermitage et des Editions de L'Ermitage sont en dépôt à la Librairie Eos, 56 rue de la Pompe, Paris 16e (Téléph. Auteuil 29-70), qui peut fournir aussi les numéros de l'année en cours de la revue L'Ermitage.") - p. [49] : Titre - Page 112 : Imprimeur ; Gérant - Pagination : 64 pages]
Sommaire

Charles Forot : Epigrammata, poème (p. [49])

Paul Lorenz : D'un Narcisse, poème (p. [50]-51)

Edmond Pilon : Auvergne par Georges Heitz, compte rendu [en épigraphe, citation de "à Georges Heitz", poème d'Henri de Régnier : "Poète, vous aviez arraché à l'oubli / De charmantes images / Et, dans le beau jardin du souvenir, cueilli / De douces fleurs sauvages." - en note : "Georges Heitz : Auvergne, préface de G. Desdevises du Dézert, bois gravés de François Angeli (au Pigeonnier)." - reproduction d'un bois gravé de François Angeli dans le texte (p. 54)] (p. [52]-56)

André Fontainas : Bourdelle, étude [précédé des lignes d'introduction suivantes : "Nous avons la bonne fortune d'offrir à nos lecteurs ces pages, extraites du beau livre qui paraît dans la collection des "Maîtres de l'art moderne", dirigée par M. Tristan Klingsor, aux Editions Rieder, place Saint-Sulpice : Bourdelle, par André Fontainas, avec 60 planches hors-texte en hélio-gravure. L'Ermitage s'associe ainsi à l'hommage pieusement rendu par l'auteur au maître récemment disparu, ainsi qu'à l'hommage officiel que prépara à sa mémoire le ministère des Beaux-Arts, en organisant l'exposition de l'œuvre, aussi complète que possible, au musée de l'Orangerie (Tuileries) pendant les mois d'avril et mai prochains."] (p. [57]-59)

Jacques de Montbrial : Hiver [daté "Décembre 1925"] (p. [60]), Expiation du temps présent [daté "Mars 1929"] (p. [60]-61), poèmes (p. [60]-61)

Auguste Fontan : Suivant l'anthologie : I. "Tu vas, couronné de jasmins...", II. "Pourvoyeuses du Styx à l'eau noire, fileuses...", III. "Les filles de Mégare et leurs danses légères...", poèmes (p. [62])

Jean-Daniel Maublanc : Qui est Figaro ?, étude (p. [63]-67)

Jean-Marie Guislain : L'Oiseau triste (p. [68]), La Forêt (p. [68]-70), poèmes [extraits de Le Visage de l'Amour] (p. [68]-70)

Albert Flory : Petits poèmes : La Nymphe, Le Moulin à vent, Féerie (p. [71]), Soir, Fête nocturne, Ascension (p. 72), poèmes (p. [71]-72)

Géo Vallis : Cadence de fin d'automne, poème en prose (p. [73]-79)

CHRONIQUES

Paul d'Amarix : Le Temps qui court, chronique [à propos d'Auvergne de Georges Heitz] (p. [80])

René Fernandat, Jean Lebrau : La Poésie, comptes rendus [à propos de Maurice Chevrier : Chants (Garnier), signé Jean Lebrau (p. [81]-82) ; Pierre Jalabert : La Coupe d'ambroisie (Garnier), signé Jean Lebrau (p. 82-83) ; Camille Melloy : Le Parfum des bois (La Revue des poètes, Perrin), signé René Fernandat (p. (83-84)] (p. [81]-84)

Jean Heitz, Jean Lebrau, Paul Martignon, Jean-Albert Sorel : La Prose, comptes rendus [de Georges Goyau : Saint-Louis (Plon), Jacques Boulenger : La Vie de Saint-Louis (Gallimard), signé Jean-Albert Sorel (p. [85]-86) ; Georges Goyau : Dieu chez les Soviets (Flammarion), signé Jean Lebrau (p. 87-88) ; Albert Marchon : Tchouk (Bernard Grasset), signé Paul Martignon (p. 88-90) ; Eugène Marsan : La Nouvelle Armande (n° 7 de la collection "Les Coussins du Divan"), signé Jean Lebrau (p. 90-91) ; Almanach des Champs, 1er novembre 1929-1er mai 1930 (Champs, éditions des Horizons de France), signé Jean Heitz (p. 91-93)] (p. [85]-93)

Jean-Albert Sorel : Les Théâtres, compte rendu [de Amphytrion 38, pièce en trois actes de Jean Giraudoux, à la Comédie des Champs-Elysées] (p. [94]-97)

J[ean]. L[ebrau]. : Les Revues, chronique ["M. Henri de Régnier a inauguré par un bien joli portrait de Sully-Prudhomme sa collaboration aux Nouvelles littéraires... ; M. Alfred Poizat tiendrait sans doute à un jeune poète en lui demandant conseil les mêmes propos. Il se félicite dans le supplément littéraire de L'Eclair de Montpellier du choix récent de Philéas Lebesgue par le jury du Prix Moréas et il ajoute qu'un nouveau poète épique a failli nous être révélé... ; Le supplément littéraire de L'Eclair de Montpellier, sous l'avisée direction de Raoul Davray, publie des poèmes entre autres, une série de Jean de Lassus... ; Sans sortir du domaine de la poésie, félicitons Henri Massis pour sa découverte. La Revue universelle publie en effet un roman : Le Prince qui m'aimait, dont l'auteur, M. Michel Davet, a été mis au monde sous l'œil des fées les plus bienveillantes... ; La Revue mosane publie des poèmes d'Elise Champagne, Lucien Jublou, Robert Radelet, Dimiter Pantaleeff. ; Dans le troisième numéro de La Quinzaine critique André Berge regrette chez François Berthault, auteur de Cathédrale apparue, un désaccord entre son esthétique et sa mystique... ; Mgr. de la Valette Montbrun parle éloquemment de Clémenceau dans le Monde nouveau..."] (p. 97-98)

SUPPLEMENT

G. Poncet : Le Combat du Gallia, récit [daté "de Villacoublay, le 15 juin 19..." et signé Keharn (pour copie conforme : G. Poncet)] (p. [99]-112)

lundi 24 novembre 2025

TABLETTES N° 2 - NOVEMBRE 1898


TABLETTES
N° 2 (Novembre 1898)
[Date de publication : Novembre 1898 - Couverture : Date, Année, Numéro, Titre, Périodicité, Sommaire, Prix du numéro, Adresses des bureaux - 2e de couverture : Appel ("Nous prions nos lecteurs de nous envoyer tous les renseignements qui leur paraîtront intéressants pour nos TABLETTES."), Titre, Complément de Titre, Périodicité, Abonnement, Adresses, Bulletin d'abonnement, Mention ("La poste est chargée des recouvrements - Un an ou six mois.") - 3e de couverture : Encart (Ligue française pour la Défense des Droits de l'Homme et du Citoyen : Statuts, Siège social), précédé de l'appel suivant : "La réaction s'organise. - Il faut que les esprits libres prennent conscience d'eux-mêmes. - Il faut s'inscrire à la Ligue des Droits pour riposter à la Ligue des Faux." - 4e de couverture : Au prochain numéro (articles de Paul Adam, Mécislas Golberg, Bernard Lazare, Henri Martel, Charles-Louis Philippe, Jean Psichari, Laurent Tailhade, Arthur Toisoul, Henri Vandeputte, Emile Verhaeren), Publicité et appel ("Achetez le Livre d'hommage des lettres françaises à Emile Zola" suit la liste des participants à l'ouvrage), Vient de paraître (Adam et Eve, roman par Camille Lemonnier) ; Publicité (Le Courrier de la presse) - Pages [63-64] : Muettes - Pagination : 32 pages]
Sommaire

X. X. X. : Le Néo-libéralisme, essai (p. [33]-34)

Camille Lemonnier : Adam et Eve, récit (p. 35-39)

Arthur Toisoul : Heure d'automne, essai (p. 40-41)

Eugène Montfort : Essai sur l'amour (préface), essai (p. 41-42)

Henri Vandeputte : Mes regards caressent..., poème en vers libres (p. 42)

Mécislas Golberg : Saint Georges de Bouhélier : I. Vers l'aventure, étude [à suivre] (p. 43-46)

Comité de rédaction des Tablettes : Notre enquête : La crise du libéralisme, enquête ["Monsieur, / Il n'est pas douteux que, depuis quelques années, le libéralisme passe par une crise. Le résultat des dernières élections en Angleterre, en Allemagne, en Belgique et en France ne lui a pas été favorable. Ses représentants ont diminué de nombre dans les assemblées politiques. De plus, il y a des défections qui se sont produites dans le corps du libéralisme. / Désirant étudier les caractères de cette crise et en chercher les remèdes nous espérons que vous voudrez bien répondre aux questions, qui ont été posées aux principaux représentants du libéralisme. Les voici : / 1° Croyez-vous que la popularité du libéralisme ait vraiment décru ? / 2° A quelles causes attribuez-vous cette décroissance ? / a) au point de vue général. / b) au point de vue du suffrage universel. / 3° L'orientation prise par les libéraux, soit vers les conservateurs, soit vers les socialistes, est-elle conforme à l'ensemble des doctrines libérales ? / 4° Croyez-vous, d'ailleurs, encore à l'utilité du libéralisme ? / 5° De quelle façon êtes-vous d'avis qu'il soit possible de le régénérer ? / c) au point de vue de la doctrine générale. / d) au point de vue des programmes pratiques. / Dans l'attente d'une réponse, nous vous prions, Monsieur, d'agréer l'assurance de notre considération."] (p. 46-47)

H[enry]. M[artel]., Trim., Robert : Tablettes : Paris [du 20 octobre au 23 octobre, signé H. M. (p. 48-49) ; Musique, signé Trim. (p. 49-50) ; La peste sémite, signé H. M. (p. 50) ; Chez Rubempré, signé Trim. (p. 50-51) ; Une première, signé H. M. (p. 51) ; 26 octobre ; L'âme simple (27 octobre), signé H. M. (p. 52-53) ; Le Dossier secret (28 et 29 octobre), non signé (p. 53-54) ; Littérature (30 octobre), non signé (p. 54) ; C'est du Judet (3 novembre), signé Henry Martel (p. 54-58)] (p. 48-58), Bruxelles [du 12 octobre au 11 novembre - signé Robert (p. 58-62)], chronique (p. 48-62)

dimanche 23 novembre 2025

L'ERMITAGE N° 43 - JANVIER 1930


L'ERMITAGE
N° 43 (Janvier 1930)
[Date de publication : Janvier 1930 - Couverture : Titre, Année, Adresse, Sommaire, Numéro, Date, Périodicité - 2e de couverture : Titre, Directeur-fondateur, Prix du numéro, Directeurs, Administrateur, Abonnements, Adresse, Mentions ("Les auteurs sont seuls responsables de leurs articles. / Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. / Les abonnements partent du premier janvier.") ; Mention ("Ce Numéro contient les Tables de l'année 1929" / "Prière à nos abonnés de vouloir bien envoyer, par mandat-carte payable à domicile, 81 rue de la Tour, Paris 16e, ou au compte de chèque postal Paris 1188-58, le montant de l'abonnement de 1930 : soit la somme de 25 francs pour la France et les Colonies, et de 30 francs pour l'étranger. / Nous ferons présenter, par la poste, grevées des frais de recouvrement, les quittances d'abonnements qui n'auraient pas été réglées pour le 15 février prochain.") - 3e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage (fondée par Georges Heitz) Edition de luxe à tirage limité" (N° 1. - Georges Heitz, Images détachées de l'oubli ; N° 2. - Maurice-Pierre Boyé, L'Escalier d'ombre ; N° 3. - Jacques Delmond, Les Douces-amères ; N° 4. - Claude-Maurice Robert, Le Pèlerin de l'espace ; N° 5. - Robert Milliat, L'Album de mes amis ; N° 6. - Marcel Ormoy, Le Visage retrouvé ; N° 7. - Marcel Clémeur, Images d'un printemps nouveau ; N° 8. - Francis Jammes, Diane ; N° 9. - Maurice Rey, Les Mélancolies passionnées ; N° 10. - Henri de Lescoët, Ciels peints ; N° 11. - Philippe Chabaneix, Comme des songes ; N° 12. - Eugène Lapeyre, Les Regrets) - 4e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage" [suite] (N° 13. - Claude Armel, Poèmes du désir et du plaisir ; N° 14. - Albert Flad, Le Feu dérobé ; N° 15. - Claude Fourcade, Les Fugitives ; N° 16. - Jean-Marie Guislain, Clairières ; N° 17. - Pierre Lély-Poujol, Le Vent du dernier soir) ; Publications "Aux éditions de L'Ermitage" (Paul d'Amarix, Transparences ; Marcel Ormoy, Stèle pour un jeune poète ; Noël Ruet, L'Azur et la flamme ; Georges Heitz, Dans le champ des Lettres ; Georges Heitz, Ecrit sur le sable) ; Mention ("Les volumes de la Collection poétique de L'Ermitage et des Editions de L'Ermitage sont en dépôt à la Librairie Eos, 56 rue de la Pompe, Paris 16e (Téléph. Auteuil 29-70), qui peut fournir aussi les numéros de l'année en cours de la revue L'Ermitage.") - p. [601]-608 : Table des Matières (Année 1929), brochée en début de numéro - p. [1] : Titre - Page 48 : Annonce ("En mars ou avril prochains, une soirée poétique sera consacrée, en la maison de Balzac, à notre cher Georges Heitz. / La conférence sera faite par Gérardot de Sermoise. Des poèmes de Georges Heitz seront lus par Fernand Mazade, Xavier de Magallon, Philippe Chabaneix, Maurice-Pierre Boyé, Henri Bosco, Albert Marchon, Jacques Lesourd, André Payer.") - Bas de p. 48 : Imprimeur ; Gérant - Pagination : 48 pages]
Sommaire

Fernand Gregh : A ma mère, poème (p. [1]-2)

Edmond Pilon : Figures peintes : I. Mademoiselle Prévost dansant (p. [3]-4), II. Une autre Aïssé (p. 4), III. C'est une héroïne de Tallemant (p. 5), poèmes (p. [3]-5)

Jean Lebrau : Roger Grillon, peintre de Lagrasse, étude [en note : "Une exposition des œuvres de Roger Grillon aura lieu dans la première quinzaine de février, galerie Th. Briant, 32, rue de Berri." (p. [6]-11)

Jean Lebrau : Sur un bouquet, poème [pour Mme Roger Grillon] (p. [12])

Paul d'Amarix : La Mer et le ciel, poème [précédé des lignes suivantes : "Le Prix Gérard de Nerval a été attribué, le 5 décembre dernier, à notre ami Paul d'Amarix. / L'Ermitage se réjouit particulièrement de ce succès. Nous donnons ci-dessous un poème récent de notre collaborateur. / Nous publions également dans ce numéro des vers de MM. Lély-Poujol et Paul Lorenz dont les envois avaient retenu l'attention du jury."] (p. [13])

Sonia Jean Heitz : Au Pigeonnier, chez Charles Forot, étude [en-tête de l'article, un bois gravé de Burnot intitulé "Le Théâtre du Pigeonnier"] (p. [14]-19)

Jean-Daniel Maublanc : Qui est Don Quichotte ?, étude (p. [20]-24)

Pierre Lély-Poujol : Poèmes : I. "J'étais le fils de ceux qui marchent dans la nuit..." (p. [25]), II. "Le signe de la paix. - Ah ! tu cherches en vain..." (p. 26), poèmes (p. [25]-26)

CHRONIQUES

Paul d'Amarix : Le Temps qui court, chronique [à propos du retour d'exil de Léon Daudet] (p. [27]-28)

Paul d'Amarix : La Poésie, comptes rendus [à propos de Claude Fourcade : Les Fugitives (Collection de L'Ermitage) (p. [29]-30) ; Marcel Ormoy : La Flamme et le secret (Garnier) (p. 30-33)] (p. [29]-33)

Jean Heitz, Sonia Jean Heitz : La Prose, comptes rendus [de Marcel Arland : L'Ordre (Nouvelle Revue Française), signé Sonia Jean Heitz (p. [34]-36) ; Edmond Pilon et Maurice-Pierre Boyé : Versailles, Les Trianons, Saint-Cyr (illustré de nombreuses figures et aquarelles de Camille Carlier-Vignal. Arthaud), signé Jean Heitz (p. 36-37) ; Henry de Montherlant : L'Exil (Editions du Capitole), signé Sonia Jean Heitz (p. 37-39)] (p. [34]-39)

Jean-Albert Sorel : Les Théâtres, compte rendu [de Le Sexe faible, comédie en trois actes de M. Edouard Bourdet, au Théâtre de la Michaudière] (p. [40]-44)

André Chancerel : La Guirlande des Amitiés, compte rendu [à propos du numéro spécial de poésie de la revue forézienne Les Amitiés] (p. [45]-46)

J[ean]. L[ebrau]. : Les Revues, chronique ["Dans le somptueux Crapouillot de Noël : le Jardin du Bibliophile, Philippe Chabaneix passe en revue les poètes dont les recueils parus en 1929 ont eu l'heur de lui plaire... ; L'œuvre des poètes récents contient les éléments d'une splendide anthologie, écrivait récemment Michel Puy dans l'article qu'il a donné aux Amitiés sur le Miracle des Beaux Vers... ; Les deux cahiers des Marges donnent, certes, raison à Michel Puy, et aussi ce quatrain de Fernand Mazade, cueilli dans Latinité..."] (p. [47]-48)

samedi 22 novembre 2025

TABLETTES N° 1 - OCTOBRE 1898

[Titre : TABLETTES - Complément de Titre : Bi-mensuelles - Littéraires et Politiques, puis, à partir du n° 3 (février 1899) : Mensuelles - Littéraires et Politiques - Dates de publication : Octobre 1898 (n° 1) à février 1899 (n° 4) - Périodicité : Bi-mensuelle, paraissant le 1er et le 15 de chaque mois (en réalité la revue paraîtra au rythme d'un numéro par mois) ; puis, à partir de la deuxième année, mensuelle - Lieu de publication : Paris, Bruxelles (pour les deux premiers numéros) ; puis uniquement Paris (à partir de la deuxième année) - Format : 170 x 250 mm - Couverture : Imprimée en noir sur papier crème - Pagination : 32 pages pour les deux premiers numéros (pagination suivie) ; puis 24 pages pour les deux derniers (pagination recommencée) - Prix et abonnements : Prix du numéro = 50 centimes (pour le premier numéro), puis 30 centimes (à partir du n° 2 de novembre 1898) ; Abonnement d'un an = 10 francs (France et Belgique), 12 francs (Etranger) ; Abonnement de 6 mois = 6 francs (France et Belgique), 8 francs (Etranger) pour les deux premiers numéros ; puis, à partir du n° 3 (janvier 1899), Abonnement d'un an = 5 francs (France et Belgique), 6 francs (Etranger) - Directeurs : Mécislas Goberg, Léon Parsons, Henri Vandeputte - Administrateurs : Léon Parsons, Henri Vandeputte - Collaborateurs [liste exhaustive] : Henri Dagan, Hector Depasse, Mécislas Golberg, Yves Guyot, Camille Lemonnier, Mauice Magre, Raphaël Mairoi, Henry Martel, Eugène Montfort, Léon Parsons, Alfred Paulet, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Ernest Renan, Arthur Toisoul, Henri Vandeputte, Francis Vielé-Griffin - Adresses des Bureaux de la revue : Léon Parsons (22, rue de Tocqueville, Paris), Henri Vandeputte (131, rue de Brabant, Bruxelles) ; puis, à partir du n° 3 (janvier 1899), Librairie Taitbout (76, rue Taitbout, Paris) - Editeur (à partir du n° 3 de janvier 1899) : Albert Wolff, éditeur (Librairie Taitbout, 76, rue Taitbout, Paris) - Gérant : Léon Parsons (mentionné seulement à partir du n° 3 de janvier 1899) - Imprimeur : Imprimerie S. Eggericx, rue Prince-Albert, 46 (Ixelles) ; puis, à partir du n° 3 (janvier 1899), Imprimerie Léon Frémont (Arcis-sur-Aube)]

TABLETTES
N° 1 (Octobre 1898)
[Date de publication : Octobre 1898 - Couverture : Date, Année, Numéro, Titre, Périodicité, Sommaire, Prix du numéro, Adresses des bureaux - 2e de couverture : Appel ("Nous prions nos lecteurs de nous envoyer tous les renseignements qui leur paraîtront intéressants pour nos TABLETTES."), Titre, Complément de Titre, Périodicité, Abonnement, Adresses, Bulletin d'abonnement, Mention ("La poste est chargée des recouvrements - Un an ou six mois.") - 3e de couverture : Encart (Ligue française pour la Défense des Droits de l'Homme et du Citoyen : Statuts, Siège social), précédé de l'appel suivant : "La réaction s'organise. - Il faut que les esprits libres prennent conscience d'eux-mêmes. - Il faut s'inscrire à la Ligue des Droits pour riposter à la Ligue des Faux." - 4e de couverture : Au prochain numéro (articles de Golberg, Martel, Psichari, Tailhade, Vandeputte, Verhaeren), Publicité et appel ("Achetez le Livre d'hommage des lettres françaises à Emile Zola" suit la liste des participants à l'ouvrage), Livres nouveaux (A la Revue blanche. L'Armée contre la Nation, par Urbain Gohier ; Chez Georges Balat. Images de Dieu, par Arthur Toisoul ; Poèmes confiants, par Henri Vandeputte ; Au Mercure de France. La Louange de la Vie, par Max Elskamp ; Un Mâle, par Camille Lemonnier ; La Lyre héroïque et dolente, par Pierre Quillard ; Oeuvres complètes d'Arthur Rimbaud ; Chez Stock. L'Affaire Dreyfus, par Bernard Lazare ; Propos d'un Solitaire, par E. Duclaux ; Avant le procès, par E. Duclaux ; La Révision du procès Dreyfus, par Yves Guyot ; A L'Effort. Le Jardin d'où l'on voit la vie, par Marc Lafargue) - Page 32 : Imprimeur - Pagination : 32 pages]
Sommaire

Mécislas Golberg, Léon Parsons, Henri Vandeputte : Notre But, éditorial (p. [1]-4)

G[olberg]., P[arsons]., V[andeputte]. : Par principe, polémique (p. 4-5)

Francis Vielé-Griffin : Communion, poème en vers libres (p. 6)

Francis de Pressensé : A propos d'un meeting, article [au sujet d'un meeting en faveur du capitaine Dreyfus qui aurait dû avoir lieu à la salle Wagram et dont les organisateurs ont été arrêtés] (p. 7-9)

Pierre Quillard : Une forme récente du nationalisme, article (p. 9-11)

Mécislas Golberg : Stéphane Mallarmé, étude (p. 12-14)

Arthur Toisoul : Les Filles et les choses, poèmes en prose (p. 14-15)

Henri Vandeputte : Lettre à un jeune homme, lettre fictive (p. 16-18)

Henry Martel : La Raison d'Etat, article (p. 18-22)

Sic. : Entre souverains, article [à propos de Félix Faure] (p. 22-23)

*** : Tablettes : Paris [du 13 septembre au 10 octobre] (p. 24-29), Bruxelles [du 3 au 30 septembre] (p. 29-32), chronique (p. 24-32)

Document
"Notre But"
Encore une fois un groupe de jeunes tente de réunir en un faisceau solide d'amitié et d'action ses espérances et ses efforts.

Notre revue n'apporte ni des programmes de vie définitifs, ni des prescriptions pour devenir des génies, ni des formules pour conquérir l'immortalité. Une foi commune nous unit : la foi en l’efficacité des efforts, le respect de la vie des foules et des individus, et enfin l'humble considération que la pensée humaine est une énergie et que le but de toute action intellectuelle n'est plus d'assujettir les hommes en les fascinant par les idées générales, mais de réveiller la vie propre à chacun, en semant des œuvres sincères et fortes.

Nous admettons ce que M. Fouillée appelle idée-force et nous croyons que la valeur d'une œuvre se mesure à ses qualités dynamogènes. Nous serons moissonneurs de vie et semeurs d'énergie. Nous tâcherons de nous pénétrer des événements et de les reconstruire en beauté.

La vie actuelle a atteint un tel degré d'impétuosité et d'intensité que, par antinomie, nous pouvons enfin, idéologiquement, lui donner les formes classiques de l'époque, c'est-à-dire exprimer par des procédés simples, par des lignes précises l'enchevêtrement des événements, des passions et des idées qui agitent les consciences contemporaines.

*

Nous sommes nés dans l'époque des débâcles. Les foules nouvelles apparaissent. Les retours se produisent. La régression menace la pensée, la vie et l'émotion.

Enfants des débâcles, comme génération, nous exprimons les deux tendances de la souffrance : la diminution de l'énergie vitale suivie de l'abaissement de la personnalité et l'accroissement de la force, en raison des malheurs, suivie de l'exaltation de la volonté. D'un côté se placent ceux de nos égaux que le drame contemporain a armés d'une façon vulgaire en leur apprenant de fâcheuses confusions et en leur donnant la ruse comme outil de la pensée.

Ces jeunes gens, que nous appellerons volontiers des vibrions idéologiques de notre ère crépusculaire, ont transformé les vérités en erreurs, et la force de créer en ruse de parvenir.

Ils ont des programmes néfastes. Leurs idées imprécises méprisent la vie, ils retranchent ceci, ils exagèrent cela.

Ayant pressenti comme nous l’intensité de la vie et la nécessité formelle de l’exprimer dans une forme définitive, ils ont pris, en fuyant la vie réelle, le chemin facile de clamer la simplicité et l'évidence utilitaire. Au lieu de comprendre que c'est la complexité de la vie qui a créé la Victoire de Samothrace et qu'il y a des tragédies sanglantes dans l'éclosion d'une modeste fleur des champs, ils se sont mis à faire des madrigaux, à semer des vérités faciles et à couvrir de mépris tous ceux qui se passionnent réellement.

Ayant senti l'insuffisance de la vie purement littéraire ou dogmatique de nos aînés, ils n'ont pas compris la grandeur de leur attitude et le rôle important qu'ils jouent dans l'évolution de la pensée. Au lieu de tirer des enseignements, ils ont pris le chemin vulgaire des attaques des aînés afin qu'on affirmât l'existence des cadets.

Ayant senti la nécessité de remplacer par quelque chose la vie discrète des cénacles, ils ont inauguré la diplomatie ès lettres, ès idées. Ils poursuivent leurs plans en trafiquants. Ils admirent les médiocrités qui les servent et méprisent les énergies précieuses qu'il est utile pour la joie de la populace littéraire de couvrir de boue.

S'étant emparés de quelques tremplins de la réclame contemporaine, ils ont groupé autour d'eux, une élite de rusés qui, marchant sur leurs traces, espèrent cueillir quelques éclats de la popularité. De façon qu'ils répandent autour d'eux la contamination de la maladie dont ils sont atteints et que – affirmant dans leurs actes la démoralisation des débâcles – ils donnent aux forces négatives un appui dangereux.

Telle ne sera point notre attitude. Nous prétendons appartenir à l'autre partie de la génération des désastres.

L'autre génération qui a passé par les mêmes malheurs, qui a assisté aux mêmes spectacles, a compris que toute confusion vient de l'arbitraire qui s'est introduit, peu à peu, dans le jugement et dans la vie.

Elle a compris que l'existence – si proche pourtant de la victoire – est exposée aux pires hasards, grâce à l'abandon des uns, aux ruses des autres.

Elle a compris que toute idée est vraie à condition qu'elle détermine une volonté sincère et qu'elle soit basée sur une émotion juste.

Elle a rejeté comme inutiles les phraséologies des sociologues étroits, les mots creux des lettrés, les appels des agitateurs fictifs. La vie actuelle lui a appris que seule l'émotion est la base de la vérité et que la juste ordonnance est le principe unique de la société en marche.

Elle a vu – cette jeunesse – des hommes aux principes dits arriérés marcher sincèrement pour la justice. Elle a vu un peuple égaré par le mensonge et les lâchetés. Elle a vu le pays secoué par des crises intenses, livré aux abominations des spéculateurs publics et, devant ces événements, au lieu d’adorer la lâcheté, elle s’incline devant la sincérité et la passion.

Aussi, malgré les malheurs qui fondent sur leur pays, elle espère : car elle est persuadée, que lorsqu’une nation broyée par le mensonge et l’arbitraire, a engendré un noyau de héros, cette nation vivra et saura secouer encore l’humanité de grands frissons.

Et aujourd'hui nous pouvons dire bien haut : Nous ne sommes plus un parti d'Idée, mais un parti d'hommes.

Nous honorons ceux qui orientent les foules et leur apprennent à vivre.

Nous honorons ceux qui, héroïquement, combattent les erreurs quelles qu'elles soient.

Nous honorons ceux qui, épouvantés par l'aberration de la démocratie, livrée, depuis trente ans, aux politiciens, sont sortis enfin de leurs retraites pour agir et éclairer.

Et nous espérons, à notre tour, sous d'autres formes, continuer le combat pour la précision et contre l'arbitraire.

Dans la génération qui se lève, nous sommes de ceux qui haïssent la raison, qui se détache du monde, et nous voulons reprendre la vie généreuse et pleine d'espoir de ceux qui glorieusement nous ont précédés.

*

Dans cette revue, nous nous mêlerons à la vie courante sans l'amoindrir. Nous discuterons les conditions de la vitalité des peuples, nous flétrirons la laideur sous toutes ses formes, nous tenterons de créer de belles œuvres. Par des méthodes rigoureuses, nous tiendrons à apporter de la clarté dans le domaine des faits et, par une science sincère de la vie, à ressentir la joie et la beauté.

Ayant pris l'émotion comme mesure de l'acte intellectuel, nous apporterons des œuvres qui réveilleront les forces, qui préciseront les évènements, qui grouperont les énergies.

Pour faciliter notre tâche, nous irons parfois demander des indications précieuses aux savants auxquels l'expérience de vivre a permis de concevoir les évènements du dehors et à nos aînés qui ont vécu si vigoureusement la vie intérieure.

Car nous voulons exprimer synthétiquement le double effort des savants et des lettrés des générations passées et, en donnant à notre sincère passion de vivre des formes adéquates, nous saurons enfin créer des œuvres qui apprendront à espérer, à aimer, à chanter, à mourir. Et nous sommes fermement convaincus que l'heure est proche pour ces œuvres et que chacun de nous, en apportant sa part, coopérera à créer l'architecture de la vie moderne qui souffre des inhibitions et des faiblesses de ceux auxquels les défaites ont appris la ruse au lieu de l'héroïsme.

Nous voulons rendre à la vie ses forces. Nous voulons la science du devenir, l'art de l'expression, le culte de l'énergie. La dynamique universelle, la fécondité de ce qui passe, l'immortalité de chaque effort positif – tels seront les uniques points de… notre programme. Aux erreurs des moralistes et des éducateurs qui soumettent l’existence aux lois de leurs prémices, à l’intellectualisme étroit des uns, à l’intellectualisme imprécis des autres, aux longs programmes des architectes de demain nous opposerons la dynamique des événements et l’art créateur des énergies.

MECISLAS GOLBERG,
LEON PARSONS,
HENRI VANDEPUTTE.

vendredi 21 novembre 2025

L'ERMITAGE N° 41 - NOVEMBRE 1929


L'ERMITAGE
N° 41 (Novembre 1929)
[Date de publication : Novembre 1929 - Couverture : Titre, Année, Adresse, Sommaire, Numéro, Date, Périodicité - 2e de couverture : Titre, Directeur-fondateur, Prix du numéro, Directeurs, Administrateur, Abonnements, Adresse, Mentions ("Les auteurs sont seuls responsables de leurs articles. / Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. / Les abonnements partent du premier janvier.") - 3e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage (fondée par Georges Heitz) Edition de luxe à tirage limité" (N° 1. - Georges Heitz, Images détachées de l'oubli ; N° 2. - Maurice-Pierre Boyé, L'Escalier d'ombre ; N° 3. - Jacques Delmond, Les Douces-amères ; N° 4. - Claude-Maurice Robert, Le Pèlerin de l'espace ; N° 5. - Robert Milliat, L'Album de mes amis ; N° 6. - Marcel Ormoy, Le Visage retrouvé ; N° 7. - Marcel Clémeur, Images d'un printemps nouveau ; N° 8. - Francis Jammes, Diane ; N° 9. - Maurice Rey, Les Mélancolies passionnées ; N° 10. - Henri de Lescoët, Ciels peints ; N° 11. - Philippe Chabaneix, Comme des songes) - 4e de couverture : Publications de la "Collection poétique de L'Ermitage" [suite] (N° 12. - Eugène Lapeyre, Les Regrets ; N° 13. - Claude Armel, Poèmes du désir et du plaisir ; N° 14. - Albert Flad, Le Feu dérobé ; N° 15. - Claude Fourcade, Les Fugitives ; N° 16. - Jean-Marie Guislain, Clairières) ; Publications "Aux éditions de L'Ermitage" (Paul d'Amarix, Transparences ; Marcel Ormoy, Stèle pour un jeune poète ; Noël Ruet, L'Azur et la flamme ; Georges Heitz, Dans le champ des Lettres ; Georges Heitz, Ecrit sur le sable) - p. [505] : Titre en tête - Bas de p. [552] : Annonces ("LA GUIRLANDE DES AMITIES / La revue Les Amitiés publie sous ce joli titre un numéro spécial de poésie où se rencontrent la plupart des meilleurs poètes jeunes d'aujourd'hui, fraternellement unis à quelques grands aînés, tels que la comtesse de Noailles, André Fontainas, Charles Maurras, Fernand Mazade, Guy Lavaud..." ; "PRIX GERARD DE NERVAL / Nous rappelons que ce prix sera décerné à la fin du présent mois...") ; Imprimeur ; Gérant - Pagination : 48 pages]
Sommaire

André Fontainas : Allocution prononcée devant le monument de Verlaine au Jardin du Luxembourg, le 30 juin 1929, texte de discours (p. [505]-509)

Nicolas Beauduin : Poèmes : Protée (p. [510]), Départs (p. [511]), Stances (p. [512]-513), In memoriam (p. [514]), poèmes (p. [510]-[514])

Francis Eon : Jacqueline, poème (p. [515]-517)

Raoul Boggio : Musique prolongée (p. [518]), Nuances du rêve (p. [519]), poèmes (p. [518]-[519])

Claude-Maurice Robert : Le Bonheur est au désert (réponse à Marcel Ormoy), lettre [datée "Dans la mer d'alfa, août 1929"] (p. [520]-526)

Marcel Ormoy : Trois poèmes d'automne : I. "Un trop tendre péril environne le ciel..." (p. [527]), II. "Le pas des vendangeurs s'éloigne dans le soir..." (p. [528]), III. "Sombre flamme à la proue amère de la vie..." (p. [529]), poèmes (p. [527]-[529])

Edmond Humeau : Amenitas Vernalis, poème [daté "Avril 1929"] (p. [530]-531)

M. A. Daguet : Sur une gravure 1830 intitulée "La dernière rose", poème [daté "20 janvier 1929"] (p. [532])

René Martineau : Le Facteur (p. [533]-534), Chanson (p. [535]-536), poèmes (p. [533]-536)

CHRONIQUES

Paul d'Amarix : Le Temps qui court, chronique [à Philippe Chabaneix - discours prononcé le 7 septembre 1929, à Toulon, à l'occasion d'un banquet offert au poète Philippe Chabaneix] (p. [537]-539)

Eugène Lapeyre, Marcel Ormoy : La Poésie, comptes rendus [à propos de Amélie Murat : Passion (Garnier), signé Marcel Ormoy (p. [540]-541) ; Louis Pize : Golfes du soir (Editions des Îles de Lérins) ; François-Paul Alibert : Le Tombeau de Ronsard (Editions des Îles de Lérins) ; Louis Pize : Le Mystère de Saint François Régis (Au Pigeonnier), signés Eugène Lapeyre (p. 541-542)] (p. [540]-542)

Christiane Fournier, Henri de Lescoët, Louis Pize, Jean Pourtal de Ladevèze : La Prose, comptes rendus [de Maurice Barrès : Notes sur l'Italie ; Paul Bourget : Sur la Toscane ; Henri de Régnier : Le Vrai bonheur ou les amants de Stresa ; Maréchal Liautey : Lettres d'Italie ; Gabriel Faure : Les Rencontres italiennes (cinq volumes de luxe à tirage limité. Aux "Horizons de France"), signé Louis Pize (p. [543]-544) ; Raymond Escholier : Gascogne (avec dessins originaux de Clément Servaux. Editions des "Horizons de France"), signé Louis Pize (p. 544) ; Henri Pourrat : La Ligne verte (Editions de la N. R. F.), signé Louis Pize (p. 545) ; Charles Silvestre : Le Voyage rustique (Plon), signé Henri de Lescoët (p. 545-546) ; A. Martignon : Un promeneur à pied (Stock), signé J[ean]. P[ourtal]. de L[adevèze]. (p. 546) ; Lettres de Maupassant à Flaubert (Editées par Pierre Borel, Les éditions des Portiques), signé Christiane Fournier (p. 547)] (p. [543]-547)

Jean-Albert Sorel : Les Théâtres, comptes rendus [de Jean de la Lune, comédie en trois actes de M. Paul Vialar, à la Comédie des Champs-Elysées (p. [548]-550) ; Le Collier, comédie en trois actes de M. H. d'Erlanger, au Théâtre des Mathurins (p. 550-551)] (p. [548]-551)