LE JOURNAL DES POÈTES
2e année - N° 19 (16 Avril 1932)
[Date de publication : 16 avril 1932 - Page [1] en-tête (2 colonnes) : Année, Numéro, Date, Prix, Titre, Sous-Titre, Adresse, Téléphone, Compte chèque postal, Abonnement - Page [3] bas de colonne 1 : Comité portugais : Critique : Antonio Ferro ; Poètes : Eugenio de Castro, Alberto de Oliveira, Mario Beiraô, Augusto de Santa Rita, José Regio, Fernanda de Castro - Page [3] milieu de colonnes 1-2 : A l'initiative du Comité suisse : MM. P. Beausire, L. Charles-Baudouin, H. Ferrare, E. Humeau, H. Mugnier, G. Trolliet - Page [3] bas de colonne 2 : Annonce ("Retardataires, payez-nous d'urgence votre abonnement, abonnez aussi votre meilleur ami.") - Page [3] bas de colonnes 3-4 : Encart ("Vendredi treize / mai / ouverture / du / Kursaal d'Ostende") - Page [3] bas de colonne 4 : Appel ("Lecteur, propage-nous") - Page [4] bas de colonne 3 : Annonce ("Abonnés & bibliophiles / possédez-vous la "série d'essai" du "Journal des poètes" ? / Il ne nous reste que huit collections, en édition simple, et trois collections, en édition de luxe, de notre première série. Beaucoup de nos lecteurs n'ayant pas conservé les premiers numéros de notre "Série d'essai", sa collection constitue déjà une / rareté bibliographique / Nous offrons la collection simple à 50 fr. (belges), et la collection de luxe à 75 fr. / S'adresser au Bureau du Journal.") - Pagination : 4 pages]
*** : André Chamson faillitomane, polémique [à propos de l'entretien avec André Chamson paru dans les Nouvelles littéraires du 3 avril 1932] (p. [1 ; col. 1])
Michel Leiris : Jeunes Filles, poème en vers libres (p. [1 ; col. 2])
Gongora : Sonnet (1583) ; Sonnet (1623) (p. [1 ; col. 2]) : Tableau de la Sicile ardente [extrait de Polyphème - 1612] (p. [1 ; col. 3]), poèmes [traduits et commentés par Lucien-Paul Thomas] (p. [1 ; col. 2-3])
Paul Vanderborght : Gongora (1561-1627), étude (p. [1 ; col. 3-4 ; 4 ; col. 1-2])
NOUVEAUX DOCUMENTS DE SUISSE ROMANDE
(voir n° 4 du 5-12-31)
Edmond Humeau : Homme, avec peine : Pierre-Louis Matthey, étude (p. [2 ; col. 1])
Pierre-Louis Matthey : Deux poèmes inédits : Ganymède ou le Recours imprudent ; Un fragment d'anniversaire, poèmes en vers libres (p. [2 ; col. 2])
Aloys Bataillard : Les Sables, poème en vers libres [à Denis de Rougemont] (p. [2 ; col. 2-3])
Pierre Beausire : Adieu, poème en vers libres (p. [2 ; col. 3])
Elvira Andreossi : Le beau dimanche ; Plus loin que la raison, poèmes en vers libres (p. [2 ; col. 3])
Denis de Rougemont : Mouvement (p. [2 ; col. 1]) ; La morte ou la nue (p. [2 ; col. 2]) ; Ainsi (p. [2 ; col. 3]), poèmes en vers libres (p. [2 ; col. 1-3])
Gilbert Trolliet : Acte de présence, étude (p. [2 ; col. 4 - 3 ; col. 1-2])
Charles Plisnier : Révisions : Corbière embaumé, étude (p. [3 ; col. 1-2])
Edmond Humeau : Les Marquises de Gare, poème en vers libres (p. [3 ; col. 2])
LE NORD ANONYME
L'AMOUR DANS LES PAYS DE GLACE
*** : Chant de Tivajuk ; Chant de Qulungertut [traduction Rasmussen] ; Le pagayeur chante sa femme [traduction Hollatz-Bretagne] ; Chant de la convalescence [traduction Rasmussen], chants esquimaux (p. [3 ; col. 3])
Franz Steurs : Poème, poème en vers libres (p. [3 ; col. 3])
ÉCRIVAINS DU SUD
TROIS JEUNES POÈTES D'ITALIE
Giacomo Falco : Bonheur de la neige, poème [précédé d'une présentation par Lionello Fiumi - traduit par le même] (p. [3 ; col. 4])
Andrea Agueci : La terre de la ville, poème [précédé d'une présentation par Lionello Fiumi - traduit par le même] (p. [3 ; col. 4])
Massimo Mazzanti : L'éternité, poème [précédé d'une présentation par Lionello Fiumi - traduit par le même] (p. [3 ; col. 4])
Ribeiro Couto : Le Miracle, poème [traduit du portugais par l'auteur] (p. [4 ; col. 3])
Guilherme de Almeida : Art d'aimer, poème [traduit du portugais (Brésil) par Serge Milliet et Géo Charles] (p. [4 ; col. 3])
Adalbert Lantos : Les millions ; Le silence, poèmes [adaptés de l'espagnol par T. Z.] (p. [4 ; col. 3])
Claude Sernet : Autographes, poème (p. [4 ; col. 4])
*** : Brièvement, notes [Mme Gevers, en quête de "Brabançonnes", rencontre un garçonnet... ; On parle peu aujourd'hui de l'Abbaye de Créteil où de 1906 à 1908 vécurent de jeunes poètes français désireux de vivre en commun afin de réaliser un rêve d'affection et de création. / Comme il paraît lointain cet idéalisme !... ; "Sachez que la poésie se trouve partout où n'est pas le sourire, stupidement railleur, de l'homme à la figure de canard." (Maldoror, Chant VI) ; Schopenhauer, apôtre savant du pessimisme, faisait la part belle à la poésie dans laquelle il trouvait le refuge éternel de l'homme, et sa consolation...] (p. [4 ; col. 4])
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